Portraits, académies, tondi   du 18 et 19 siècle restent mon domaine de prédilection - Passeur de lumière, de sens  je reste parfois -

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Aucune de ces toiles ne m'appartiennent, ni à vous d'ailleurs -

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Respect,  lenteur face à ces oeuvres il faut avoir - 

 

Leurs dimensions sacrées m'attirent me questionnent -

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Il me faut un écran entre la réalité et moi - Tant de vulgarité de laideur m'accablent  - Ces toiles sont présences -Sachant que la réalité n'est pas celle que l'on croit - Tel le tondo qui représente une image bouclier, une image clipeata  - Le  cercle renvoyant à l'idée de perfection - 

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Il est question de peau, il est question  de sidération, de résistance,  de  sens, qu'un peintre si méconnu  soit il vous offre en partage;  à minima lui rendre hommage, il est question..

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Un tableau  étant bien plus qu'une pièce de décoration ( tout ce qui vous est offert ici reste de belle facture, issu de collections privées parfois, restauré pour certains )  -

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un parcours artistique,  une formation à l'académie Julian ( Met de Penninghen) m'ont permis, entre autre, d'aiguiser mon oeil  et ce depuis 35 ans  -

Silence, lecture, hors temps -

Deux catégories de marchands de tableaux  coexistent,  ceux qui sont dans le combien uniquement et ceux qui sont dans le pourquoi comment -

 

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Cette phrase dAndré  Dubouchet  me plait de plus en plus :" S'éloigner du monde pour mieux le retrouver  "  
 

 Ralentir -

Suprématisme des lignes, sobriété  audacieuse, pause  dans une décennie  loquace et cuistre -   LC